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mercredi 12 juin 2013

Un monde idéal où c'est la fin de J. Heska

 
Bienvenue dans un monde idéal !
Un monde idéal où la civilisation telle que nous la connaissons n’existe plus. Dérèglement du temps ? Avènement de la magie ? Crise climatique irréversible ? Épidémie mondiale de mort subite ? Extra-terrestres maladroits ? Invasion de poireaux découpeurs de cervelles ? Crise de déprime globale ? Robots hors de contrôle ? Zombies entreprenants ?
Découvrez 100 histoires drôles, émouvantes, tragiques ou absurdes qui mènent à notre perte !


Mais c’est quoi Un monde idéal ? C’est une collection de livres reposant sur un concept tout simple qui a fait le succès du site Internet www.jheska.fr : des textes courts et percutants relatant des histoires basées sur des « et si » ?

Un livre parfait pour un petit moment de détente égoïste, dans le bus, à la pause déjeuner, le soir avant de se coucher ou à la plage !

Qu'est-ce que j'en pense?
Quand j’ai vu que « Un monde idéal où c’est la fin » allait sortir le premier juin, ce n’était que du bonheur. Souvenez-vous, j’avais déjà eu l’occasion de lire et d’apprécier « Pourquoi les gentils ne se feront plus avoir » et « On ne peut pas lutter contre le système » et j’avais donc hâte de retrouver la plume très agréable de l’auteur.

Comme pour les deux précédents, J. Heska m’a fait passer un très bon moment avec son troisième roman. Une fois qu’on commence la première histoire, il est très difficile de s’arrêter tellement on se sent happé par ces nouvelles qui nous parlent de la fin du monde.

Je sais que certains vont penser que la fin du monde a été vue et revue en littérature mais la façon originale et humoristique dont l’auteur a écrit ces nouvelles rendent ce bouquin très attrayant.

Dans cet ouvrage, on retrouve un tas de références très agréables qui ne peuvent que nous faire sourire voire même éclater de rire. Il y en a quelques unes qui m’ont plus marquées et que j’ai beaucoup appréciées comme celles à Fifty Shade of Grey, à Matrix, à  Harry Potter. Il y en a encore bien d’autres mais je préfère vous laisser la surprise de les découvrir.
La référence au Cthulhu m’a donné envie de découvrir l’univers de Lovecraft.

Il y a deux références bien particulières que j'ai retrouvées avec un grand plaisir. Il s'agit de celles à « Pourquoi les gentils ne se feront plus avoir » et  à « On ne peut pas lutter contre le système ». C’est impossible de passer à côté et elles nous donnent envie de relire ces deux romans.

S’il y a une nouvelle que je devais retenir en particulier, que j’ai adoré et trouvé complètement hilarante c’est « Un monde idéal où des créatures fourbes et sanguinaires menacent l’humanité », je me suis imaginée dans la ville de Lille au milieu de ses chats et, quand je suis arrivée à Lille vendredi dernier, je n’ai pu m’empêcher de sourire en repensant à cette histoire.

A travers ses différentes nouvelles, l’auteur réussit même à nous faire découvrir une histoire continue très agréable. Je me suis énormément attachée au gnome Groumpf, j’ai adoré le suivre tout au long du bouquin et j’ai été très émue par la fin de cette aventure.

Quant à la finale du roman, je l’ai adorée, je ne m’attendais pas une telle fin et j’ai été très agréablement surprise.

En bref, si vous ne connaissez pas encore J. Heska, je ne peux que vous recommander de découvrir cet auteur qui fait partie de mes partenaires ainsi que son blog qui se trouve ici
Et si vous n'avez pas encore lu ses livres, je vous conseille de cliquer ici.

Je tiens à remercier J. Heska pour m'avoir permis de découvrir son livre.


mardi 23 octobre 2012

On ne peut pas lutter contre le système de J. Heska

    http://img832.imageshack.us/img832/2751/onnepeutpasluttercontre.jpg
Le système financier mondial vient de s’écrouler. Il ne s’en relèvera pas, plongeant toute une civilisation dans le chaos.
Lawrence Newton a accepté sa destinée. Il a renoncé à ses espoirs, à ses convictions, et à l’amour de sa vie pour suivre les traces de son père au sein du consortium HONOLA.
Samson Bimda est le chef d’un village au nord de l’Ouganda. Les semences OGM vendues par la compagnie ruinent ses champs et ne lui permettent plus d’assurer sa subsistance.
Clara, Hakim et Louise sont trois militants au sein du mouvement écologiste GreenForce. Au hasard d’une de leurs actions, ils tombent sur des documents compromettants qui vont les dépasser.
À la veille du plus grand sommet européen déterminant l’avenir de millions de personnes, chacun doit défendre ses intérêts, quitte à en payer le prix le plus lourd.


Qu'est-ce que j'en pense?
Quand J. Heska m’a proposé de découvrir « On ne peut pas lutter contre le système » en livre voyageur, je n’ai pas hésité une seule seconde malgré le sujet qui me faisait un peu peur.

Quand j’ai commencé ce roman, j’ai eu du mal à suivre  et j’ai du m’accrocher mais au fil des pages tout est devenu de plus en plus en clair et j’ai retrouvé l’écriture fluide de l’auteur avec plaisir.
Le thème n’est pas toujours évident mais J Heska a su trouver les mots pour le rendre intéressant et j’ai beaucoup aimé l’intrigue et le suspense que l’on trouve tout au long de l’histoire.
Quel bonheur de pouvoir voyager à travers ce roman, en plus de nous emmener à Paris, à Bruxelles, à Londres et dans l’Ouganda, il nous fait également remonter dans le temps.

Les références faites aux différents films comme « Retour vers le futur », « Harry Potter », « Star Wars »… m’ont fait sourire.

Au niveau des personnages, celui auquel je me suis le plus attachée est Lawrence. A mon avis, le fait que J. ait parlé de ce personnage lors de la rencontre sur Livraddict comme étant celui qui lui ressemblait plus n’y est pas pour rien. Après cette discussion, c’était le personnage que j’avais le plus hâte de découvrir dans le bouquin.
J’ai également beaucoup apprécié Marty et son côté mystérieux.
Les autres personnages n’ont pas réussi à attirer mon attention plus que ça. Je pense que ça vient du fait que je me suis tellement attachée à l’histoire que j’ai un peu laissé les différents protagonistes sur le côté.

En bref, même si le thème m’a fait un peu peur au premier abord et même si j’ai eu du mal à accrocher à certains personnages, j’ai passé un bon moment avec ce bouquin et je ne peux que vous le conseiller.

Merci qui?
Un énorme merci à J. Heska qui m'a permis de découvrir ce roman.

mardi 21 juin 2011

Pourquoi les gentils ne se feront plus avoir de J. Heska


Je m'appelle Jérome et je ne suis pas quelqu'un de populaire. Invisible pour mon entourage, insipide pour mes collègues, insignifiant pour ma petite amie.
Un jour, je suis tombé sur un article dans un magasine bon marché censé m'aider à régler un certain nombre de problèmes dans ma vie. Ca m'a amené un peu plus loin que prévu...
Ah oui, le "un peu plus loin", c'est devenir le chef de file involontaire d'un mouvement philosophique qui a révolutionné le monde.
-Mais, réveillez-vous! Ce que vous faites est dangereux.
-Qu'est ce que tu crois? Qu'il vaut mieux lancer une révolution douce? Ou attendre de péter un cable, prendre un flingue et tirer sur tout le monde? Tu ne comprends pas qu'une bonne partie de la population en a marre de cette société  où chacun se trouve des excuses pour agir comme un con. Tu l'as très bien dit toi-même. Les gentils en ont ras le bol, les gentils ne se feront plus avoir!

Qu'est-ce que j'en pense?
La première chose qui m’a attirée dans ce livre est son titre. En le voyant, je voulais savoir comment les gentils s'y prendraient pour ne se plus se faire avoir.

Les mots qui sont employés dans la quatrième de couverture nous donne vraiment envie de découvrir ce bouquin.

J’ai passé un très bon moment en compagnie de ce roman. Le style de l’auteur est tout simplement génial et très facile à lire. A aucun moment, je ne me suis ennuyée.

L’histoire est très originale et nous donne une belle leçon de vie. En lisant « Pourquoi les méchants ne se feront plus avoir », on se rend compte que l’auteur n’est pas très loin de la réalité. Finalement, n’y a-t-il pas dans la vie de tous les jours des gentils et des méchants comme dans le bouquin ?

Les citations qu’on peut retrouver au début de chaque chapitre sont vraiment très agréables à découvrir et cadrent très bien avec l’histoire.

Ma préférée est celle-ci : «La vie c’est comme un escargot. On porte un lourd fardeau sur le dos, il faut en baver pour avancer, et ça laisse des traces. »

Jérôme est vraiment très attachant. A certains moments, il nous fait sourire par sa maladresse mais à d’autres on ressent beaucoup de pitié pour lui.

Le fait que ses aventures soient écrites sous forme de journal intime et à la première personne nous rapproche encore plus de ce héros. On se sent tellement proche de lui qu’on a envie de le consoler.

Je ne vais pas vous en dire plus de peur de spoiler et j’espère que vous aimerez ce bouquin autant que moi.

Merci qui? 
Un énorme merci à J. Heska pour m'avoir proposé de lire son bouquin. 
Un peu de pub 
J'ai lu ce livre grâce au Projet Hermes.
Le principe de ce projet consiste à faire voyager ce roman par la poste.
Ce bouquin est envoyé à une personne qui à deux semaines pour en faire la chronique. Une fois que la personne l'a lu, elle l'envoie à l'adresse que l'auteur lui aura donné. Au bout de cette adresse, il y aura un autre blogueur qui le lira et en fera à son tour la chronique avant de l'envoyer ailleurs.